samedi 20 décembre 2008

Mauvaise foi...

Ci-dessous, extrait de la tribune de "Ville d'Avray Alternative" et signé Caroline Gauvain, publié dans le dernier Ville d'Avray info, fort contestable car inutilement polémique, comportant des informations erronées (par nous soulignées en rouge) ou non étayées par des chiffres (soulignées en bleu).

"A partir des programmes variés issus du POS actuel... Plusieurs projets décidés au cours de la mandature précédente, qui obéissent donc à des choix d’urbanisme déterminés par le POS, sont en cours de démarrage : ils participent et, particulièrement les programmes sociaux, dépassant les préjugés à cet égard, au renouvellement de la qualité du tissu architectural de notre commune :

3. le 44 rue de Sèvres : Ensemble de logements sociaux incluant maison relais et hébergement d’urgence. Notre groupe VAL l’approuve dans sa définition tant architecturale que sociale : respect du bâti et du paysager existant, réponse appropriée à un besoin réel de la commune – familles monoparentales en précarité et accompagnement humain facilitant l’intégration et le respect mutuel. Le groupe Majorité Présidentielle, en cohérence avec la politique gouvernementale s’évertuant à dénaturer la loi SRU, se fait le relais de la contestation partisane d’une association de riverains dont l’inquiétude serait plus légitime à se focaliser sur la mise au pas attendue de la spéculation immobilière. Cette association a déposé un recours contre le permis de construire. Sans doute auraient-ils souhaité une localisation plus appropriée, à l’instar de notre petite commune voisine où l’on ne barguigne pas à édifier des logements sociaux sur un terrain étranglé entre les voies ferrées et l’autoroute A13 : situation richement « pourvue de potentialité de rebonds » ! Le 44, rue de Sèvres rentre dans le type d’accueil qui pourrait être décompté double dans le dispositif Mobilisation pour le Logement et répond à des obligations de la loi auxquelles la commune ne peut se soustraire – hébergement d’urgence - si ce n’est au risque de la réquisition par le préfet de région."

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